lundi 30 juin 2014
Horoscoop
Vous avez avec vous le Soleil et la Lune et c'est une question d'heures, avant de connaître un retournement de situation. Quelque chose va prendre fin, suivi immédiatement par un renouveau. Le chiffre 1, ce grand Manitou de l'entité, fils spirituel avec qui tout commence, est dans le coin. Vous êtes chanceux et profitez-en, car le 2, plus dual et changeant, couple infernal, ne va pas tarder à s'annoncer, minant déjà les plans échafaudés un jour avant.
vendredi 27 juin 2014
mardi 24 juin 2014
Puisqu'on n'y échappera pas
Daniel Cohn-Bendit, ancien défenseur du Parlement Européen, tourne un documentaire dont le personnage principal est le Brésil, qu'il sillonne pendant la Coupe du Monde. Il est passionné de foot, mais ne fait pas un documentaire sportif, il y tient.
Il a cette réponse, dans une revue spécialisée, quand on lui pose cette question :
"Donc on peut être de gauche et aimer le football. D’ailleurs, tu dis toi-même qu’il y a un football de gauche et un football de droite ?
Oui, exactement, le football de gauche, c’est « tu marques plus de buts que tu en encaisses ». Le football de droite, c’est l’inverse ! Tu essaies de ne pas encaisser un but et le hasard fait que tu en marques un."
Cela me laisse songeuse. "Travailler plus pour gagner plus" est une formule qui me semble assez correspondre à l'idée d'un foot de gauche dans ce cas-là… Mais je n'y connais rien au foot.
lundi 23 juin 2014
vendredi 20 juin 2014
Philo non contractuelle
(ces sujets sont fictifs, toute ressemblance avec la réalité est purement fortuite)
- Doit-on tout faire pour être définitif ?
- Suffit-il d'avoir le choix pour être une œuvre?
- Pourquoi chercher à s'échanger soi-même ?
- Une vérité peut-elle être intéressée ?
- L'artiste vit-il pour être heureux ?
- Sommes-nous son oeuvre ?
lundi 16 juin 2014
Des événements tombaient du ciel. De la taille d'un immeuble. La tête constamment levée vers la voûte menaçante, mon corps prêt à éviter l'obstacle, si rapide à choir, si proche et oppressant, et c'est une énorme éponge grattoir qui s'écrasait au sol. Le côté vert et abrasif triomphant. Bientôt suivie d'un autre élément du quotidien dont la disproportion le rendait tout aussi inquiétant. Je ne me souviens pas de chaque objet mais l'esquive fut épuisante, et je crois que la vision de la pleine lune le vendredi 13 juin conjuguée à la sortie en dvd, deux jours avant, de L'île des miam-nimaux : tempête de boulettes géantes 2, sans oublier les quelques lignes du 10 juin dans ces mêmes pages, et voilà fait le lit de ma nuit.
samedi 14 juin 2014
Bon débarras. Elle préférait encore finir le trajet en chaussettes. Sentir toute la ville sous ses pieds plutôt que continuer à porter ces horreurs. Une lubie du matin : ouvrir un placard, vouloir faire le vide, ranger un peu, et tomber sur ce cadeau de remise en forme offert par un amateur de loisirs urbains qu'elle ne voyait plus depuis… disons quasiment dès le début de leur relation. Une idée comme ça. Chausser ces engins, mais au lieu de glisser dans la ville, buter sur chaque surface, avoir l'impression que chaque poteau porte l'espoir d'un déambulateur. Alors quitter en pleine rue ces bottes de sept vieux.
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